Samedi matin nous rejoignons dans la banlieue de Budapest un contact Internet qui doit nous mener dans un ancien dépôt ferroviaire, le dépôt ferroviaire d'Istvántelek. On peut trouver à cet endroit plus d'une centaine de locomotive, certaines à l'abris attendant d'être peut être affectée à un musée et d'autres, malheureusement, en train de rouiller à ciel ouvert ou sous une verrière défoncée.

D'après notre "guide", il y a certaines locomotives qui ont une réelle valeur historique, certaines datant de l'époque soviétique et d'autres d'avant guerre. Une des ces perles est cette MAV 424 avec son imposante étoile rouve à l'avant.

Si vous comptez y passer, sachez que les batiments Nords sont abanndonnés (Celui de cette image par exemple) mais que les batiments sud, ceux qui contiennent les locos en bonne état, sont encore utilisée en journée par les chemins de fers nationaux...

Le Hongrois est une langue particulièrement difficile a apprendre pour les européens car il est d'origine asiatique. L’histoire du hongrois commence il y a quelque 3 000 ans, à l’est de l’Oural, dans la région du fleuve Ob. Dès cette époque-là et par la suite, au cours de la migration des Hongrois vers le sud-ouest, leur langue est influencée par des langues turciques et iraniennes. Après leur établissement dans le bassin des Carpates, l’adoption du christianisme et la fondation du royaume de Hongrie, le hongrois est influencé par des langues slaves et par le latin, langue par laquelle commence la culture écrite en Hongrie.

Szabadság tér (en français : « place de la Liberté ») est une place du 5e arrondissement où l'on trouve notamment le Mémorial soviétique et l'ancien Palais de la Bourse. Le monument érigé sur la place en juillet 2014 représente l'archange Gabriel tenant l'orbe royal hongrois, attaqué par l'aigle allemand dont la patte indique la date de 1944 sur un anneau. Cette présentation de la Hongrie comme victime d'une occupation nazie de mars 1944 s'appuie sur une astuce constitutionelle bien pratique appelée « Loi fondamentale » selon laquel la « constitution historique » et l'autonomie de l'État ont été suspendues de mars 1944 à mai 1990. Ce point de vue est acceptable pour la période Communiste mais a suscité protestations et manifestations en ce qui concerne la période Nazi car on a de nombreuses traces de la participation active de la gendarmerie hongroise à la déportation des Juifs jusqu'en juillet 1944.

Les Chaussures au bord du Danube est un mémorial créé et conçu par Can Togay et Gyula Pauer en 2005. Il est constitué d'une soixantaine de paires de chaussures en métal, scellées sur les rives du Danube, sur quarante cinq mètres de long. Il représente les personnes fusillées par le parti des Croix fléchées sur ces rives qui devaient se déchausser avant leur exécution.

L'Avenue Karoly est une large et belle avenue du centre de Budapest. On trouve dans ce coin là quelques bars sympa et de bons restaurants dont un de nos favoris, le Dobrumba, au 5 de la rue Dob. C'est un restaurant spécialisé dans les plats méditerranéens (Liban, Maroc...).

L’Instant est un Ruin Bar composé de 7 salles, avec une ambiance et musique différente pour chacun d’elles. Ce lieu est magique : un vrai labyrinthe !!

L’entrée est gratuite, donc si vous n’êtes pas fan des boites vous pouvez quand même rentrer pour y jeter un coup d’œil ça vaut vraiment le détour ! Les décors sont magnifiques et le staff sympa.